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– Voyons, calmez-vous, dit la fée. Laissez donc cette besogne à d’autres. Vous êtes pourtant d’un âge où l’on doit être raisonnable ; vous avez suffisamment barbouillé vos doigts d’encre, en écrivant des contes. Reposez-vous. Je vous donnerai une bonne provision de ma poésie en bouteilles. Du reste, faites-en, si vous voulez, faites-en, de nouveaux contes ; croyez-vous qu’ils intéresseront beaucoup ? Que vous ai-je dit ?